La-Rue-de-Siam

Samedi 1er octobre 2011 à 12:47

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Mardi 30 août 2011 à 0:56

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C
ela fait un moment que je n'ai pas écrit ici. Pourtant, j'aime ce blog, j'aime cowblog, je m'y sens bien.
Je ne sais pas très bien si c'est parce qu'il se passe trop de choses et que je ne sais pas par où commencer, ou si c'est juste que parmi ce qui arrive, je ne trouve rien d'assez intéressant pour être raconter ici. Ou peut-être un petit peu des deux... Oui, je pense que c'est ça ! Enfin voilà, je viens écrire ici pour essayer de crever moi même mon abcès.
Bientôt arrive le retour des cours, le 6 septembre est la pré-rentrée plus précisément. Cette année, les choses vont s'accélérer. La fin de la licence arrive déjà à grand pas, la recherche du master à suivre également, les dossiers à envoyer aux universités, un nouvel appartement à chercher dans une autre ville (qui peut-être sera à l'autre bout de la France). Il faudrait que je (re-re-re-re)passe mon permis avant de partir de Brest... (Rien que d'y penser, j'en ai la chair de poule. AHHH.)
Et puis, les choses vont s'accélérer aussi dans ma petite vie sentimentale. Avec Nicolas, on pense à s'installer ensemble l'année prochaine si l'on est dans la même ville. On imagine déjà l'appartement. Ca me rend véritablement heureuse d'y penser. Hier, je pleurais du fait que j'ai l'impression d'avoir grandi d'un coup avec ce qui a pu se passer il y a quelques mois, et de ne plus m'émerveiller de tout ce qui m'entourait, au contraire, de devenir grincheuse et blasée. Il m'a dit "Tu verras, quand on aura notre appartement, il y aura plein de couleurs, et plein de consoles aussi, et des fois, on y jouera jusqu'à pas d'heures en buvant des litres de thé et en mangeant des pruneaux. On fera notre petit cocon à nous deux, ça sera bien." Et ça m'a fait du bien. Je ne sais pas si on en aura l'occasion, je l'espère, mais sans trop m'y accrocher (par peur de la retombée si jamais ça n'arrivait pas), ça me donne le sourire de l'imaginer.
Je fais encore du mal autour de moi. Certaines personnes n'arrivent pas à me cerner, ne me comprennent pas. Mais ce que ces personnes ne savent pas, c'est que moi-même, j'ai du mal à me suivre. Je change, ou j'évolue, et plus j'avance, plus je me rend compte de ces changements. Il y a du bon comme du mauvais, mais j'essaie toujours d'amoindrir ce dernier. Il est vrai qu'avant, il y a quelques mois, j'étais beaucoup plus disponible, je pensais plus souvent aux autres qu'à moi même. Mais depuis que Nicolas est là, j'essaie de plus penser à mon bien être, et à moins être bouffée par les problèmes de mes proches en plus des miens...
Bref, ça fait beaucoup de choses à raconter comme ça, d'un coup. Mais c'est de ma faute, alors je vais tenter d'écrire plus régulièrement !
A plus tard !

Mercredi 2 mars 2011 à 0:26

 PURÉE, MAIS POURQUOI FAUT-IL TOUJOURS, MAIS VRAIMENT TOUJOURS QUE CERTAINS NE SOIENT PAS CONTENTS ?!


Je dois avouer que je me sens mal, là.
 

Vendredi 18 février 2011 à 23:33

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« Tu es une personne exceptionnelle. Je veux tout faire pour que tu t'en rendes compte. »
 
Un sms de Nicolas vient d'arriver. Il me fait vraiment chaud au coeur. Nicolas est réellement quelqu'un d'adorable, et plus j'apprend à le connaître, plus je me rend compte de la chance que j'ai de l'avoir, même si j'ai bien peur de ne pas mériter tout cela. Je ne réalise pas encore tout ce qui arrive.

Jeudi soir, j'ai eu très peur. Il était prévu que l'on aille chercher A. à la fin de sa soirée de travail à 22h30 pour fêter avec elle au Blind Piper ses 20 ans. Mais avant ça, je devais retrouver E., puis aller manger chez Nicolas (Une de mes plus proches amies rencontrant mon amoureux. ^^) avec ce dernier et F..
Tout se passait bien, ils jouaient tous les trois à Worms sur l'ordinateur à tour de rôles, et je les regardais. Je trouvais ça cool. J'adore regarder les gens jouer. Puis, comme à son habitude, F. m'embêtait, toujours un peu plus que quand A. est là, parce que leur relation est étrange. Et donc, quand A. est là, F. l'embête plus elle. x)
Bref, nous faisions les crétins sur le lit de Nicolas, je trouvais ç a drôle. Mais suite à cela, le propriétaire du lit est devenu de plus en plus froid. Quand on est parti pour chercher Alicia, j'ai tenté plusieurs approches comme le chatouiller, ou me planter devant lui en le fixant grand sourire aux lèvres, mais il ne me regardait pas. Puis, au bar, j'ai essayé de lui parler, il ne répondait que par "Hmmm", "Oui" ou "Non", et quand j'ai pris une de ses mains dans les miennes, il a juste dit "Aïe" (Ses doigts sont tout abimés.).
J'ai fini par laisser tomber, et le laisser tranquille pensant avoir fait quelque chose qui l'avait vexé, ou blessé, sans m'en rendre compte, malgré qu'il m'ai dit que non, je ne le gênais pas, et qu'il allait bien. Sur le chemin pour aller à l'appartement d'A., je suis partie un peu devant, parce que les larmes aux yeux, et je ne voulais pas gâcher l'ambiance de la soirée qui se déroulait plutôt bien. F. m'a rejointe et a insisté pour que je lui dise ce qui n'allait pas. Je n'ai pas su si je devais lui en vouloir d'avoir vu que je ne me sentais pas bien, ou lui être reconnaissante de s'intéresser à mes états d'âmes, chose qu'il n'avait jamais vraiment faite avant ce soir là. Il est resté un peu avec moi, et m'a fait rire. Il m'a fait du bien.
Puis, E. m'a dit qu'elle était fatiguée et qu'elle allait rentrer chez elle. Comme elle habite dans un endroit un peu bizarre, il était hors de question que je la laisse rentrer seule, j'ai donc décidé de l'accompagner. Quelle fut ma surprise quand j'ai entendu derrière moi la voix de Nicolas : "Je viens avec vous, il n'est pas question que tu te promènes seule à cette heure-ci.". Il n'a pourtant pas été beaucoup plus causant sur le chemin de chez E..
C'est en sortant de chez elle que les choses se sont arrangées.
Alors que je m'attendais à ce que l'on fasse le chemin l'un à coté de l'autre, mais sans réelle communication, il a pris ma main et l'a serrée fort dans la sienne. Ma gorge, qui était nouée jusqu'à présent s'est alors un peu relâchée et je l'ai regardé d'un air un peu surpris. Il m'a enlacée et a murmuré à mon oreille "Je suis désolé.". Ce à quoi j'ai répondu gentiment que je préférais qu'il m'explique, s'il le voulait bien sûr, parce que j'avais peur d'avoir fait quelque chose de mal involontairement.
Et là, il m'a dit : "La seule chose qu'il y a, c'est que j'ai du mal à accepter le fait que je sois jaloux. De F. ou des autres. Je n'aime pas qu'on t'approche de trop près, et ça m'énerve de ressentir ça. Je suis désolé. Je ne voulais pas te le dire, car je ne veux pas que tu changes quoique ce soit à ta relation avec F., promet le moi, s'il te plait. Je veux seulement trouver une justification à ma jalousie, ou l'accepter seulement, ça va aller. Je vais me donner l'excuse de la preuve d'amour, parce que c'est un fait, je tiens beaucoup à toi, et je ne veux pas te perdre."
Non, je le trouve vraiment parfait, parfait à sa façon. Et moi non plus, je ne veux pas le perdre. Parce que ça devient de plus en plus évident, Je l'aime.

Mardi 4 janvier 2011 à 1:13

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Je suis royalement dans la merde pour les partiels. Plus que jamais dans la merde pour des examens, je crois. Mais je suis ici quand même. Normal, non? J'ai été chez le coiffeur, nouvelle année, nouvelle tête. Ça change, et je trouve ça bien. (Ci-dessus) Les chats sont calmes, ça fait du bien.
C'est affreux, je l'ai vu aujourd'hui, je le vois demain, mais il me manque. J'avais oublié à quel point on pouvait perdre la notion de temps, et de la fierté un peu aussi quand on tombe amoureux. On se ressemble. Et on est différent. Je ne le connais pas encore beaucoup, ça vient petit à petit, mais j'ai l'impression qu'on se sent bien tous les deux. On rit beaucoup, on se taquine, on est complice. Ça fait énormément de bien.

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